Le lieu : accueil et histoire du Foyer de Charité de Baye

Vous êtes accueillis au château de Baye
(120 km de Paris)

C’est goûter « plus » que la vie de château, dans un cadre de nature et de beauté (vitraux classés de la chapelle st Alpin datant du XIIIème siècle), et rénové pour votre accueil.

Repas faits maison, nourriture saine (fruits et légumes…). A disposition : pain d’épeautre bio au petit déjeuner et tisanes de fenouil au goûter (conseils culinaires sainte Hildegarde). Les chambres sont rénovées, confortables et bien chauffées.

Ressourcement-silence dans le parc du château de Baye, moments de détente à travers de nombreux circuits de promenade variés (vignes, bois, proximité d’un domaine de pêche…)

La communauté du Foyer de Charité de Baye

La communauté du Foyer de Charité de Baye prie avec vous, prend ses repas avec vous, vous accompagne tout au long de la retraite spirituelle… Nous vivons ensemble une même vie de famille, dans un climat de serein, recueilli, qui met la joie au cœur.

Accueil-écoute pour ceux qui en ressentent le besoin, dans le cadre des retraites spirituelles de 6 jours.

Vous êtes accueillis dans un lieu chargé d’histoire

Le Foyer de Charité de Baye est situé dans le département de la Marne, canton de Montmort, à 120 km à l’est de Paris, à 27 km au sud d’Épernay (sur la D951), à 3 km de Champaubert-la-Bataille bien connu en raison de la célèbre victoire qu’y remporta Napoléon 1er le 14 février 1814.

Le château, qui est devenu Foyer de Charité en 1960, a connu la bonne fortune d’être le lieu de naissance ou de résidence de quelques grands noms, au fil des siècles : saint Alpin arrêtant Attila au 5e siècle ; Marion de Lorme, à la recherche de l’amour, malgré tout, au 17e siècle ; le baron Joseph Berthelot de Baye, début 20e, pionnier de la paléontologie…

Tapisserie de verre, la chapelle gothique saint Alpin et ses 5 vitraux, au cœur du Foyer de Charité, est un trésor du patrimoine religieux champenois, classé par les Monuments Historiques. Elle fut construite au début du 13ème siècle par Simon de Châteauvillain. Elle eut vraisemblablement pour architecte le célèbre Jean d’Orbais à qui l’on attribue la paternité de la chapelle des archevêques de Reims. Les « miniatures de vitraux », selon un spécialiste, sont considérés comme un des fleurons du patrimoine régional.

Cette fragile tapisserie a 800 ans d’existence et elle « parle au cœur » des visiteurs et retraitants, émerveillés de cet ensemble qui donne à contempler le plan d’Amour de Dieu, en Jésus-Christ, et qui met en scène des dizaines de personnages issus de l’Ancien et du Nouveau Testament.

Visite guidée des vitraux de notre chapelle saint Alpin, classés par les Monuments Historiques, essentiellement dans le cadre des retraites spirituelles de 6 jours et pour les Journées du Patrimoine.